Chercheurs Lille Irserm diabete gras









Sur le campus de l’Université de Lille 2, une équipe de chercheurs de l’Inserm est parvenue, grâce à la thérapie cellulaire, à soigner durablement des patients atteints du diabète de type 1.en 2012





Réalisation : Marianne Cramer
Production : Cité des sciences / Inserm


Qu'est ce que Diabète de type 1??



Le diabète de type 1 (jadis appelé diabète « maigre » ou diabète insulinodépendant, DID), résulte d’une incapacité partielle ou totale du pancréas à fabriquer l’insuline indispensable à l’alimentation des cellules en glucose. Ce trouble est dû à la destruction des cellules endocrines productrices d’insuline, appelées cellules β (un type cellulaire particulier des îlots de Langerhans, situés dans le pancréas). Dans 90 % des cas, ce diabète est une maladie auto-immune, c’est-à-dire que le système immunitaire du patient réagit anormalement aux cellules β de son pancréas.
Pour en savoir plus
Voir le dossier d’information Diabète de type 1 ICI





Anciennement appelé diabète « maigre » ou diabète « juvénile » le diabète de type 1 ou diabète insulinodépendant (DID), résulte d’une faillite rapidement totale du pancréas à sécréter l’insuline, hormone indispensable à l’alimentation des cellules en glucose, leur premier fuel énergétique.


Qu'est ce le diabète de type 2?


Le diabète de type 2 (diabète non insulinodépendant ou DNID) est un trouble du métabolisme du glucose. C’est la forme de diabète la plus fréquente (90 à 95 % des cas). Le DNID ne résulte pas d’un manque d’insuline, mais d’une résistance des cellules à cette hormone. Autrement dit, l’insuline continue à être sécrétée par les cellules bêta du pancréas, parfois même en quantité plus importante que chez un sujet sain, mais elle ne parvient plus à assurer le passage du sucre dans les cellules.
Pour en savoir plus
Voir le dossier d’information Diabète de type 2 ICI



Enfin le Diabète non insulinodépendant (DNID)

Le diabète de type 2 (diabète non insulinodépendant ou DNID) est un trouble du métabolisme du glucose. C’est la forme de diabète la plus fréquente (90 à 95 % des cas). Le DNID ne résulte pas d’un manque d’insuline, mais d’une résistance des cellules à cette hormone. Autrement dit, l’insuline continue à être sécrétée par les cellules bêta du pancréas, parfois même en quantité plus importante que chez un sujet sain, mais elle ne parvient plus à assurer le passage du sucre dans les cellules.

Pour en savoir plus
Voir le dossier d’information Diabète de type 2 ICI